Le Chien que Nino n'avait pas
EAN13
9782278077892
ISBN
978-2-278-07789-2
Éditeur
Didier Jeunesse
Date de publication
Collection
Hors collection
Nombre de pages
40
Dimensions
34 x 23 x 1 cm
Poids
492 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Le Chien que Nino n'avait pas

De

Illustrations de

Didier Jeunesse

Hors collection

Indisponible

Ce livre est en stock chez 4 confrères du réseau leslibraires.fr,

Cliquez ici pour le commander
Le chien que Nino n’avait pas faisait semblant d’être un écureuil dans les bois, aimait plonger dans le lac et osait même sauter sur les genoux de la grand-mère. Bien sûr, maman ne voyait pas le chien que Nino n’avait pas. Seul Nino le voyait. Jusqu’au jour où Nino reçut un chien. Un chien que tout le monde pouvait voir… Un album entre rêve et réalité, magnifiquement illustré.
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Commentaires des libraires partenaires

Conseillé par (Libraire)
30 octobre 2015

PRIX SORCIERES 2015 ALBUMS

Edward van de Vendel fait son entrée au catalogue des éditions Didier Jeunesse en compagnie du jeune et talentueux Anton Hertbruggen avec ce magnifique album, Le Chien que Nino n'avait pas. Nino vit dans une maison, aux larges baies vitrées ...

Lire la suite


PRIX SORCIERES 2015 ALBUMS

Edward van de Vendel fait son entrée au catalogue des éditions Didier Jeunesse en compagnie du jeune et talentueux Anton Hertbruggen avec ce magnifique album, Le Chien que Nino n'avait pas. Nino vit dans une maison, aux larges baies vitrées ouvertes sur la forêt avoisinante. Lorsqu'il joue, rend visite à sa grand­-mère et même lorsqu'il pleure, Nino est accompagné de son chien, celui qu'il n'a pas. Ensemble, ils font tout et ce chien qu'il n'a pas est pour Nino un véritable ami. Mais un jour, il disparaît et un autre chien arrive. Un que Nino n'est plus seul à voir, un chien différent, mais ce n'est pas grave puisqu'il y a encore de la place dans les rêves de Nino pour de nombreux animaux extraordinaires. Edward Van de Vendel a écrit un texte simple, sobre, qui laisse le champ libre aux pinceaux d'Anton Hertbruggen. Ce sont les couleurs qui frappent d'abord. La combinaison de teintes rétro – vert canard, bleu profond et camaïeu de marron, orange et jaune moutarde – crée une atmosphère mélancolique. Rien de pesant toutefois car le trait est nerveux, le style réaliste. Dans ce premier album, Anton Hertbruggen nous montre toute l'étendue de son talent. Ses images s'accordent parfaitement au texte et le tout nous transporte!

Autres contributions de...

Plus d'informations sur Edward van de Vendel