Une collection à suivre
1938, Jules est un jeune homme presque comme les autres : il est arrivé aux Etats-Unis des étoiles plein les yeux et des rêves plein la tête. Il déchante rapidement : difficile de faire fortune dans les années troubles de la Prohibition, à moins d'intégrer la pègre locale. Adam, un membre important de l'organisation, le prend sous son aile et fait de lui son associé, pour le meilleur et pour le pire.
Une plongée dans les réseaux clandestins mais aussi dans les doutes, les euphories et les contraintes d'une ascension sociale, où rien n'est manichéen. Une histoire de vie poignante et complexe, portée par un dessin résolument moderne.
La Maison des Tocards c'est le "placard" où sont relégués les agents du MI5 (les services secrets britanniques) qui ont failli à leur mission ou commis une bourde impardonnable. River Cartwright s'y retrouve avant même d'avoir commencé son job d'espion et compte bien tout faire pour se racheter.
Un sans faute pour ce thriller d'espionnage qui se dévore !
J'AI ADORÉ !!!
Attaquons-nous à ce livre comme un bûcheron à un sapin de soixante mètres : notre cœur se gonfle « à chaque éclatement et à chaque craquement des fibres, au bruissement de l'air à travers les branches d'une cime prenant de la vitesse, à chaque fracas faisant trembler le sol... »
Une merveilleuse saga qui nous parle de vies entre la Finlande et l'Oregon du début du XXème siècle, d'arbres et des luttes politiques de ces travailleurs risquant quotidiennement la mort et la mutilation pour une vingtaine de cents à l'heure...
La couverture vous fait de l'œil, et le titre vous donne envie de vous plonger dans une romance affriolante ?
Vous venez de tomber dans le premier piège de Denis Michelis !
Ici, nulle question de badinage mais bel et bien d'un meurtre, voire même de plusieurs... Un récit choral où se mêlent quatre voix, toutes liées à la mort de la jeune Rosalie dont le corps a été retrouvé au pied des falaises.
Un roman noir tonitruant et haletant !
Belle découverte !
Enchantée par ce texte, prise dans les filets du pêcheur pour mon plus grand bonheur et du vôtre (à n'en pas douter!).
Une fresque camerounaise sublime.
Agnès