Offenses est un roman court qui interroge sur la justice et la violence, sur notre société et les injustices qu’elle produit, sur la nature humaine et le bien et le mal. Avec une langue travaillée comme au scalpel, Constance Debré convoque pour partager sa vision, dénonce pour réveiller et interpelle pour bouleverser !
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Journaliste, critique littéraire et éditeur, Uwe Wittstock publie son premier essai sur la façon dont le pouvoir nazi a muselé les arts en quelques jours, En reprenant le fil chronologique de ce mois si particulier, où la grippe espagnole sévit encore, Février 33 détaille comment le milieu littéraire fut contraint soit de se taire, soit d’émigrer. Et pour ceux, qui malgré tout, n’ont fait ni l’un ni l’autre, fin février 33, la prison et la déportation étaient leur destinée.
Chronique ici
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Richard Malka a bien raison de faire paraître ses plaidoiries. Avec la fin de sa trilogie, ce lanceur d’alerte n’arrête pas de marteler son credo complètement athée sur la liberté d’expression. Et, celle-ci est si claire, si documentée qu’elle restera dans l’histoire certes littéraire mais aussi politique.
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Entre thé, confidences, assemblée où la parole raconte son vécu avec une lumière qui passe de mains en mains, Daniel Soil présente un Maroc disparate traversé de tiraillements et même de troubles. L’équilibre qu’il décrit reste précaire surtout que l’Histoire ne s’est pas encore affranchie de tous ses fantômes.
La suite ici
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Ce texte est bouleversant d’affection retenue, de considération tendre et de présence habitée. En retraçant leurs vies, leurs souffrances et leurs départs, Jérôme Garcin ouvre à l’universel en décrivant le rapport à nos morts. La sincérité qui accompagne ses mots emporte vers une portée philosophique où chacun se reconnaît. Il énonce avec poésie que nos chers disparus sont à jamais présents et nous accompagnent pour toujours, malgré la douleur de leurs absences.
Chronique illustrée ici
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