Attachant et poétique, Odette Froyard en trois façons est un hommage à une grand-mère adorée. À travers elle, c’est une ode à toutes les femmes de…, les mères de… qui ont choisi, au siècle dernier, de ne pas prendre la lumière, et qu’on a trop longtemps cantonné à l’apparence qu’elles nous ont laissée. « Pour tous, elle était, avant tout, sa femme. C’était plus qu’un statut social : une définition.«
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Des petites histoires, qui se lisent vite, mais qui racontent, chacune, une expérience de vie, importante ou banale, solitaire ou à plusieurs, qui ont toutes pour dénominateur, la nuit ! Passionnant !
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Pas de nom de pays ni du régime, mais le début de la guerre civile de Syrie, Gwenaëlle Lenoir le raconte, à partir d’un photographe funéraire, l’horreur de la répression du régime. A chaque page, la question entêtante se pose : Qu’aurions-nous fait dans la même situation ? Passionnant !
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Le cinquième de la série des Konrad, Les Parias, de Arnaldur Indriason rassemble tous les ingrédients des précédents. Embrouillé et emmêlé, sombre et jamais manichéen, ce roman est vraiment réussi. Il semble clôturer la série. Mais, avec l’écrivain sait-on jamais…
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Du même bois est un condensé poétique d’un hommage à sa famille à travers la terre et les vaches qu’ils élèvent. Marion Fayolle propose une sorte d’ovni littéraire, comme son dessin, où il faut sentir, voir, écouter et toucher cette terre ancestrale où j’ai retrouvé mes anciens, trop fiers pour se plaindre, trop secs pour pleurer, trop froids pour expliquer mais toujours là pour partager, pour accueillir et pour aimer.
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