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Henri Guillemin a rendu accessible à un vaste public des questions historiques et littéraires de première importance. Ses conférences télévisées, un genre disparu aujourd'hui, ont été un rendez-vous important sur la Télévision Suisse Romande des années 1970. En France, Henri Guillemin fut longtemps interdit de télévision, sous Pompidou et Giscard, qui le jugeaient trop iconoclaste. Il nous a semblé intéressant de redonner, dans une édition luxueuse, accès à ces programmes qui gagnent aujourd’hui une toute nouvelle force et pertinence.
# 4ème de couverture du coffret DVD
Ici, on déporta les juifs. Là, on fusilla communistes, patriotes et anti-fascistes… Plus tard, on noya les algériens. Et après ?…
Depuis la capitulation de juin 40 l’idéologie vichyste traverse les époques. Charriée par la bourgeoisie « la plus intelligente, la
plus méchante, la plus agressive et la plus corrompue d’Europe » où les intérêts de chacun de ses représentants y sont salement enchevêtrés.
En 248 pages sagaces, l’historien Henri Guillemin dresse le portrait du plénipotentiaire le plus emblématique d’entre eux, l’ancienne gloire de 14, « le vainqueur de Verdun », le Héros national dont le plus grand fait d’armes est d’avoir livré la France aux Nazis.
À la fois explorateur et témoin immédiat de l’Occupation, Guillemin livre à l’appréciation du lecteur une démonstration tangible, à l’utilité patente. Tant pour remettre à l’heure les pendules de l’Histoire que pour démystifier les thuriféraires du « képi à feuilles de chêne » et les négationnistes du moment.
# 4ème de couverture du livre
Ici, on déporta les juifs. Là, on fusilla communistes, patriotes et antifascistes… Plus tard, on noya les algériens. Et après ?…
Depuis la capitulation de juin 40 l’idéologie vichyste traverse les époques. Charriée par la bourgeoisie « la plus intelligente, la plus méchante, la plus agressive et la plus corrompue d’Europe » où les intérêts de chacun de ses représentants y sont salement enchevêtrés. En 200 pages sagaces, l’historien Henri Guillemin dresse le portrait du plénipotentiaire le plus emblématique d’entre eux, l’ancienne gloire de 14, « le vainqueur de Verdun », le Héros national dont le plus grand fait d’armes est d’avoir livré la France aux Nazis.
Clairvoyant et patriote pour les uns ; poltron et renégat pour les autres, le vieil officier marmoréen au regard azur est soumis à rude étude. À travers le foyer de ses épaisses lunettes transformées en puissant microscope, Henri Guillemin décortique les manœuvres et les intrigues du combinard en chef d’une nation-croupion dont on espère que ce fut une France aux heures les plus sombres de son histoire. Alors qu’aujourd’hui encore certains nourrissent la volonté de réhabiliter la figure du « grand soldat » quand d’autres souhaiteraient rétablir sans attendre les soubassements xénophobes et racistes de sa politique intérieure.
À la fois explorateur et témoin immédiat de l’Occupation, Guillemin livre à l’appréciation du lecteur une démonstration tangible, à l’utilité patente. Tant pour remettre à l’heure les pendules de l’Histoire que pour démystifier les thuriféraires du « képi à feuilles de chêne » et les négationnistes du moment.
# 4ème de couverture du coffret DVD
Ici, on déporta les juifs. Là, on fusilla communistes, patriotes et anti-fascistes… Plus tard, on noya les algériens. Et après ?…
Depuis la capitulation de juin 40 l’idéologie vichyste traverse les époques. Charriée par la bourgeoisie « la plus intelligente, la
plus méchante, la plus agressive et la plus corrompue d’Europe » où les intérêts de chacun de ses représentants y sont salement enchevêtrés.
En 248 pages sagaces, l’historien Henri Guillemin dresse le portrait du plénipotentiaire le plus emblématique d’entre eux, l’ancienne gloire de 14, « le vainqueur de Verdun », le Héros national dont le plus grand fait d’armes est d’avoir livré la France aux Nazis.
À la fois explorateur et témoin immédiat de l’Occupation, Guillemin livre à l’appréciation du lecteur une démonstration tangible, à l’utilité patente. Tant pour remettre à l’heure les pendules de l’Histoire que pour démystifier les thuriféraires du « képi à feuilles de chêne » et les négationnistes du moment.
# 4ème de couverture du livre
Ici, on déporta les juifs. Là, on fusilla communistes, patriotes et antifascistes… Plus tard, on noya les algériens. Et après ?…
Depuis la capitulation de juin 40 l’idéologie vichyste traverse les époques. Charriée par la bourgeoisie « la plus intelligente, la plus méchante, la plus agressive et la plus corrompue d’Europe » où les intérêts de chacun de ses représentants y sont salement enchevêtrés. En 200 pages sagaces, l’historien Henri Guillemin dresse le portrait du plénipotentiaire le plus emblématique d’entre eux, l’ancienne gloire de 14, « le vainqueur de Verdun », le Héros national dont le plus grand fait d’armes est d’avoir livré la France aux Nazis.
Clairvoyant et patriote pour les uns ; poltron et renégat pour les autres, le vieil officier marmoréen au regard azur est soumis à rude étude. À travers le foyer de ses épaisses lunettes transformées en puissant microscope, Henri Guillemin décortique les manœuvres et les intrigues du combinard en chef d’une nation-croupion dont on espère que ce fut une France aux heures les plus sombres de son histoire. Alors qu’aujourd’hui encore certains nourrissent la volonté de réhabiliter la figure du « grand soldat » quand d’autres souhaiteraient rétablir sans attendre les soubassements xénophobes et racistes de sa politique intérieure.
À la fois explorateur et témoin immédiat de l’Occupation, Guillemin livre à l’appréciation du lecteur une démonstration tangible, à l’utilité patente. Tant pour remettre à l’heure les pendules de l’Histoire que pour démystifier les thuriféraires du « képi à feuilles de chêne » et les négationnistes du moment.
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