- EAN13
- 9782246800330
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 20/08/2014
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Qui se souvient de cette folle ambition : le cinéma va changer le monde ?
Démiurges au centre de l’intrigue, un trio de meilleurs amis qui vont devenir
les beaux-frères ennemis : Jean-Pierre Rassam, Claude Berri, Maurice Pialat.
La sœur du premier, Anne-Marie, épouse le deuxième, dont la sœur, Arlette, vit
avec le troisième. Ils ne vieilliront pas ensemble.
Autour d’eux, Christophe Donner fait tourner la ronde non autorisée des
seventies : Raoul Lévy, Brigitte Bardot, Jean Yanne, Macha Méril, Jean-Louis
Trintignant, Éric Rohmer, Sami Frey...
La grande histoire crève le grand écran : Mai 68 terrorisant le festival de
Cannes ; Rassam et Berri à bord de la Mercedes de Truffaut allant sauver les
enfants de Milos Forman dans une Prague envahie par les chars soviétiques ;
l’improbable épopée de Godard dans les camps d’entraînement palestiniens.
Et puis, gueule de bois : après la grande bouffe des utopies, tous y en ont
vouloir des sous !
Cinéastes grandioses, producteurs têtes brûlées, alcool à haute dose, parties
de poker, de sexe et de drogue : des vies qui sont des films, des films qui
mettent la vie en danger. Car on se tue beaucoup en ce temps-là, quand on joue
encore vraiment sa peau avec l’art… Orson Welles peut lâcher sa malédiction
ironique : « Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive.
»
Démiurges au centre de l’intrigue, un trio de meilleurs amis qui vont devenir
les beaux-frères ennemis : Jean-Pierre Rassam, Claude Berri, Maurice Pialat.
La sœur du premier, Anne-Marie, épouse le deuxième, dont la sœur, Arlette, vit
avec le troisième. Ils ne vieilliront pas ensemble.
Autour d’eux, Christophe Donner fait tourner la ronde non autorisée des
seventies : Raoul Lévy, Brigitte Bardot, Jean Yanne, Macha Méril, Jean-Louis
Trintignant, Éric Rohmer, Sami Frey...
La grande histoire crève le grand écran : Mai 68 terrorisant le festival de
Cannes ; Rassam et Berri à bord de la Mercedes de Truffaut allant sauver les
enfants de Milos Forman dans une Prague envahie par les chars soviétiques ;
l’improbable épopée de Godard dans les camps d’entraînement palestiniens.
Et puis, gueule de bois : après la grande bouffe des utopies, tous y en ont
vouloir des sous !
Cinéastes grandioses, producteurs têtes brûlées, alcool à haute dose, parties
de poker, de sexe et de drogue : des vies qui sont des films, des films qui
mettent la vie en danger. Car on se tue beaucoup en ce temps-là, quand on joue
encore vraiment sa peau avec l’art… Orson Welles peut lâcher sa malédiction
ironique : « Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive.
»
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