Figures de la réalité. Caravagesques français, Georges de la Tour, les frères Le Nain..., caravagesques français, Georges de La Tour, les frères Le Nain
EAN13
9782754104654
ISBN
978-2-7541-0465-4
Éditeur
Hazan
Date de publication
Collection
Beaux-Arts
Nombre de pages
364
Dimensions
28 x 22 cm
Poids
2108 g
Langue
français
Code dewey
759.409032
Fiches UNIMARC
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caravagesques français, Georges de La Tour, les frères Le Nain

De

Hazan

Beaux-Arts

Indisponible
- Les écrits du meilleur spécialiste de l’influence de Caravage en Italie et en France : un style ténébriste aux nuances infinies.

Pour rendre hommage à Jean-Pierre Cuzin, qui a quitté ses fonctions à l’Institut national d’histoire de l’art en juillet 2009, ses collègues et amis ont décidé de réunir en un volume trente articles, essais et études qu’il a, depuis 1973, consacrés aux peintres français et étrangers qui se sont, de près ou de loin, inscrits dans le sillage de Caravage.   Au fil de ces travaux, dont certains n’ont jamais été publiés en français et dont d’autres sont difficiles à trouver, Jean-Pierre Cuzin s’est attaché non seulement à préciser les contours de l’œuvre de peintres tels que Valentin, Vouet ou Régnier, qui ont été parmi les premiers tenebrosi à Rome, mais aussi à montrer comment, à travers ses partisans italiens (Manfredi, Saraceni, Gentileschi) et français, la révolution accomplie par Caravage donnait le ton d’une nouvelle peinture, réaliste, grandeur nature, luministe et expressive, moins opposée à la rhétorique picturale traditionnelle qu’on ne l’a dit, moins triviale qu’on ne l’a prétendu, plus savante qu’on ne l’a affirmé. En se penchant plus particulièrement sur l’œuvre d’un Nicolas Tournier, d’un Trophime Bigot et d’un Georges de La Tour, tous trois peintres français aux attaches provinciales qui font connaître à la peinture les simplifications sublimes d’un clair-obscur radical ou d’un « primitivisme » avant la lettre, Jean-Pierre Cuzin a montré que les prolongements français du « caravagisme » avait parfois des sources moins immédiates (et parfois moins italiennes) qu’on pouvait le supposer.   Article après article, essai après essai, les études de Jean-Pierre Cuzin restituent, dans une langue choisie, une image forte, claire et nouvelle d’une des grandes métamorphoses de la peinture occidentale moderne.
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