- EAN13
- 9782722604735
- ISBN
- 978-2-7226-0473-5
- Éditeur
- Éditions du Collège de France
- Date de publication
- 06/2018
- Collection
- Leçons de clôture
- Nombre de pages
- 40
- Dimensions
- 11 x 1,3 cm
- Poids
- 47 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Ce que nous devons aux anciens poètes de la France
Leçon de clôture prononcée le 10 février 2016
Autres contributions de Michel Zink
Éditions du Collège de France
Leçons de clôture
Ce livre est en stock chez un confrère du réseau leslibraires.fr,
Cliquez ici pour le commanderAutre version disponible
Quelle relation la littérature du Moyen Âge entretient-elle avec le temps et
la mémoire? Quelle est la place de la religion et de la spiritualité dans
cette littérature? Peut-on concevoir la poésie comme un récit?
À travers ces grandes questions, Michel Zink, dans sa leçon de clôture au
Collège de France, jette un regard rétrospectif sur ses vingt-deux années
d'enseignement. Les grands thèmes ayant servi de fil conducteur à ses cours y
sont analysés, et en tout premier lieu le temps: le regard que porte la
littérature médiévale sur son propre passé, l’imbrication du temps subjectif
et du temps de l’histoire, la réception moderne de ces textes anciens. Des
questions de poétique ensuite: poésie et récit, anonymat et sujet poétique,
poésie et nature. Enfin, la constante imprégnation religieuse des lettres
médiévales, qui brouille la notion même d'une littérature profane.
Michel Zink est professeur émérite au Collège de France, membre de l'Académie
des inscriptions et des belles-lettres et membre de l'Académie française. Il a
été titulaire de la chaire de Littératures de la France médiévale de 1994 à
2016.
la mémoire? Quelle est la place de la religion et de la spiritualité dans
cette littérature? Peut-on concevoir la poésie comme un récit?
À travers ces grandes questions, Michel Zink, dans sa leçon de clôture au
Collège de France, jette un regard rétrospectif sur ses vingt-deux années
d'enseignement. Les grands thèmes ayant servi de fil conducteur à ses cours y
sont analysés, et en tout premier lieu le temps: le regard que porte la
littérature médiévale sur son propre passé, l’imbrication du temps subjectif
et du temps de l’histoire, la réception moderne de ces textes anciens. Des
questions de poétique ensuite: poésie et récit, anonymat et sujet poétique,
poésie et nature. Enfin, la constante imprégnation religieuse des lettres
médiévales, qui brouille la notion même d'une littérature profane.
Michel Zink est professeur émérite au Collège de France, membre de l'Académie
des inscriptions et des belles-lettres et membre de l'Académie française. Il a
été titulaire de la chaire de Littératures de la France médiévale de 1994 à
2016.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Discours de réception de François Sureau à l'Académie française et réponse de Michel ZinkMichel Zink, François SureauGallimard
-
Mythes d'origine dans les civilisations de l'Asie, Actes du colloquePierre-Sylvain Filliozat, Michel ZinkInscriptions