Agenda de la pensée contemporaine n°20
EAN13
9782705680565
ISBN
978-2-7056-8056-5
Éditeur
Hermann
Date de publication
Collection
HR.HORS COLLEC.
Nombre de pages
152
Dimensions
19,8 x 12,9 x 1,2 cm
Poids
184 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Agenda de la pensée contemporaine n°20

Édité par

Hermann

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Philippe JOUSSET
PHILOSOPHER EN ROND. VIE DES FORMES ET FORMES DE VIE

L'ENTENTE CORDIALE : AVEC Claude ROMANO, « POUR REPENSER LA PHÉNOMÉNOLOGIE »

BERNARD SICHÈRE
« MAI, MAO ET MOI .»


« Nous étions partis de ce constat simple : il y a de moins en moins de place, en France, pour présenter les livres de pensée et en débattre publiquement. [...] Si nous traitons principalement des livres, c 'est que nous considérons qu'ils sont les chantiers où se trame et se communique le travail discret, ardu, têtu, solitaire et solidaire à la fois, de la pensée. [...] La guerre d'escarmouche que l'Agenda a engagée contre la lassitude ne fait, à vrai dire, que commencer. »
François Jullien




« Toutes les idées simples possèdent le genre de séduction de l'oeuf de Colomb, mais celle que développe Sloterdijk en présente en outre la forme : il écrit une épopée de la boule, dont il identifie l'ontologie à la métaphysique du vieux Monde. » P. Jousset

« Claude Romano rappelle la formule de Husserl pour qui la phénoménologie s'efforce d'atteindre au coeur de la raison en dépassant une piètre rationalité à l'étroitesse de coeur (eine enghertzige und schlechte Rationalität) pour une autre, plus généreuse. Et la phénoménologie de Claude Romano est généreuse. Elle a du coeur. » M. Rueff

« Car ou bien ce que nous racontions sur la guerre de classe, l'alliance entre intellectuels et classe ouvrière, était une blague, un vain fantasme, un leurre, et nous étions des rigolos ; ou bien c'était la vérité, et il fallait en tirer les conséquences autrement qu'en conservant notre position sociale et en nous tenant dans la même confortable imposture que les autres. Il y eut là, en somme, un moment de vérité : nous étions peut-être stupides, mais au moins nous n'étions pas des escrocs. » B. Sichère
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