- EAN13
- 9782253010913
- ISBN
- 978-2-253-01091-3
- Éditeur
- Le Livre de poche
- Date de publication
- 10/1975
- Collection
- biographie (583)
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 0,8 cm
- Poids
- 105 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Code dewey
- 843.8
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Ce livre est en stock chez 10 confrères du réseau leslibraires.fr,
Cliquez ici pour le commanderAutre version disponible
Maupassant fut le meilleur élève de Flaubert. Ils étaient, tous deux, normands et réalistes. Les nouvelles de Maupassant : des instantanés ou des petits morceaux de vie inoubliables.
Mademoiselle Fifi est, en réalité, un jeune officier prussien, occupant la France en 1870, blond, à la taille fine, fier et brutal, surnommé ainsi parce qu’il méprise tout et tout le monde et répète sans cesse : « Fi, fi donc ». Il trouvera plus fort que lui.
Provinciales inassouvies, amants surpris, prostituées, femmes de notaires, nobles ruinés, amis pêcheurs, chacun a son portrait juste et émouvant.
Ces nouvelles sont brèves, ainsi l’exigeait la presse quotidienne qui les publiait avec succès. Brèves mais exprimant l’essentiel. Chaque personnage, à un moment décisif,
touche le fond et reste marqué à jamais. Maupassant affirmait appartenir à la famille des écorchés. « J’ai froid de la solitude de la vie », disait-il.
Mademoiselle Fifi est, en réalité, un jeune officier prussien, occupant la France en 1870, blond, à la taille fine, fier et brutal, surnommé ainsi parce qu’il méprise tout et tout le monde et répète sans cesse : « Fi, fi donc ». Il trouvera plus fort que lui.
Provinciales inassouvies, amants surpris, prostituées, femmes de notaires, nobles ruinés, amis pêcheurs, chacun a son portrait juste et émouvant.
Ces nouvelles sont brèves, ainsi l’exigeait la presse quotidienne qui les publiait avec succès. Brèves mais exprimant l’essentiel. Chaque personnage, à un moment décisif,
touche le fond et reste marqué à jamais. Maupassant affirmait appartenir à la famille des écorchés. « J’ai froid de la solitude de la vie », disait-il.
S'identifier pour envoyer des commentaires.