- EAN13
- 9782742718191
- ISBN
- 978-2-7427-1819-1
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 04/06/1999
- Collection
- LA PETITE BIBLI
- Nombre de pages
- 321
- Dimensions
- 19 x 12,5 x 2,2 cm
- Poids
- 280 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- persan
- Code dewey
- 870
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L'amour, l'amant, l'aimé
cent ballades du "Divân"
De Ḥāfeẓ
Édité par Vincent Mansour-Monteil
Actes Sud
La Petite Bibli
Hâfez de Shirâz est, avec Omar Khayyâm, le poète persan le plus célèbre, le plus aimé, le plus récité : même les illettrés en savent de longs fragments par coeur.
Il est mort, voici un peu plus de six cents ans, en 1389, dans sa ville natale. Poète d'une époque où le persan était la «lingua franca» de l'Asie : Iran, Afghanistan, Inde musulmane, Mongolie et Chine, Hâfez a été célébré en Occident, dès 1819, par Goethe. Les traductions se sont multipliées depuis : en allemand, en anglais, en français surtout. Du recueil complet de son oeuvre se détachent cinq cents poèmes ou «ghazal» dont cent ont été retenus ici, et traduits en vers français rythmés, rimés ou assonancés. C'est l'amour, charnel, idéal ou mystique, qui est au coeur de ces poèmes, représentatifs de la spiritualité de l'auteur, de sa vision du monde illusoire d'ici-bas, de sa notion du Temps-Destin. N'a-t-il pas écrit «: "Celui-là ne mourra jamais, dont le coeur ne vit que d'amour»."
Il est mort, voici un peu plus de six cents ans, en 1389, dans sa ville natale. Poète d'une époque où le persan était la «lingua franca» de l'Asie : Iran, Afghanistan, Inde musulmane, Mongolie et Chine, Hâfez a été célébré en Occident, dès 1819, par Goethe. Les traductions se sont multipliées depuis : en allemand, en anglais, en français surtout. Du recueil complet de son oeuvre se détachent cinq cents poèmes ou «ghazal» dont cent ont été retenus ici, et traduits en vers français rythmés, rimés ou assonancés. C'est l'amour, charnel, idéal ou mystique, qui est au coeur de ces poèmes, représentatifs de la spiritualité de l'auteur, de sa vision du monde illusoire d'ici-bas, de sa notion du Temps-Destin. N'a-t-il pas écrit «: "Celui-là ne mourra jamais, dont le coeur ne vit que d'amour»."
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