Dernières cartouches

Etats-Unis d’Amérique, 1864. La Guerre de Sécession fait rage. Alors que combats et coups de main se succèdent, dans un climat de violence inouïe, un petit groupe de soldats confédérés, dont un expert en potions plus ou moins magiques, est mis sur la piste d’un trésor, qui ne demande qu’à être découvert. Faits prisonniers, les Sudistes s’enfuient. Direction le bayou, où le trésor les attend, pensent-ils. Mais c’est compter sans des concurrents inattendus, eux aussi très motivés pour mettre la main sur l’or : une bande d’elfes et de lutins dénués de tous scrupules, qui n’hésiteront pas, eux non plus, à recourir à la violence, face à ces humains qu’ils méprisent tant.

Sur un scénario signé d’un « habitué » de KSTR, Antoine Ozanam, Dernières Cartouches réussit une très surprenante synthèse entre fantastique et récit historique, réalisme et baroque, notamment grâce à la puissante expressivité graphique du travail de Lelis. Une signature très originale dont, à coup sûr, on reparlera.