- EAN13
- 9791092016024
- ISBN
- 979-10-92016-02-4
- Éditeur
- Jigal
- Date de publication
- 21/05/2013
- Collection
- JIGAL POLAR
- Nombre de pages
- 248
- Dimensions
- 21 x 14 cm
- Poids
- 300 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Des hommes d’affaires sans scrupules qui s’étripent sans merci pour prendre le contrôle d’établissements médicaux aux bénéfices juteux. Des malades qui deviennent alors des clients dans une guerre des cliniques qui laissera en route quelques sommités sur le tapis. Des interventions chirurgicales ratées qui brisent la carrière de quelques sportifs prometteurs… Une justice qui tente de faire le tri entre la rapacité d’un patron et la négligence des chirurgiens. Une rumeur persistante qui insinue qu’un tueur en série abrège le séjour des hospitalisés… Clovis, enfin, qui partage son cœur – ou plutôt son lit – entre deux femmes que tout oppose, mais qui vont l’inciter à fourrer son nez dans ces histoires frelatées. Tiraillé entre naïveté, amour et curiosité, Clovis va prendre des risques inconsidérés afin de découvrir l’hypothétique serial killer qui tient tant à délivrer ses semblables du mal…
Compte en Suisse ou à Singapour, valise de billets, blanchiment, mauvais garçons, intimidations, cliniques, prêts bancaires, serviteurs de l’État et autres notables… Sans verser dans un dénigrement de mauvais aloi, force est de constater que l’actualité donne parfois aux auteurs de polars une matière à intrigue des plus prolifiques. Dans ce nouveau roman, Mais délivrez-nous du mal Maurice GOUIRAN croise plusieurs intrigues plus sinistres les unes que les autres… Il y est question de médecine, de chirurgiens, d’argent, de beaucoup d’argent, mais aussi de morts et de meurtres… ce qui en principe ne devrait pas aller ensemble ! Mais, comme l’ambiance délétère vient encore une fois de le rappeler, l’homme est (parfois) un loup pour son frère… Et d’autant plus si l’homme en question a quelque pouvoir entre les mains et que le frère est quant à lui mal loti… Ici la « morale » de l’histoire pourrait être la suivante : « tant qu’il y a du fric, y’a de l’espoir… et s’il y a du fric, y’a pas de scrupule » Mais méfions-nous, toujours, des idées reçues… parfois un loup peut en cacher un autre… Et puis au-delà des intrigues et du regard féroce qu’il porte sur certains de ses concitoyens, Maurice Gouiran sait comme peu nous faire partager les collines, les cistes et les chênes kermès qu’il adore… Il se nourrit aussi, et avec gourmandise, de ces conversations de comptoirs, de ces gens des quartiers populaires, ces obscurs, ces grandes gueules, ces éternels laissés pour compte qui peuplent souvent ses romans et à qui il donne chair et vie… et ça aussi, c’est un véritable plaisir…
Compte en Suisse ou à Singapour, valise de billets, blanchiment, mauvais garçons, intimidations, cliniques, prêts bancaires, serviteurs de l’État et autres notables… Sans verser dans un dénigrement de mauvais aloi, force est de constater que l’actualité donne parfois aux auteurs de polars une matière à intrigue des plus prolifiques. Dans ce nouveau roman, Mais délivrez-nous du mal Maurice GOUIRAN croise plusieurs intrigues plus sinistres les unes que les autres… Il y est question de médecine, de chirurgiens, d’argent, de beaucoup d’argent, mais aussi de morts et de meurtres… ce qui en principe ne devrait pas aller ensemble ! Mais, comme l’ambiance délétère vient encore une fois de le rappeler, l’homme est (parfois) un loup pour son frère… Et d’autant plus si l’homme en question a quelque pouvoir entre les mains et que le frère est quant à lui mal loti… Ici la « morale » de l’histoire pourrait être la suivante : « tant qu’il y a du fric, y’a de l’espoir… et s’il y a du fric, y’a pas de scrupule » Mais méfions-nous, toujours, des idées reçues… parfois un loup peut en cacher un autre… Et puis au-delà des intrigues et du regard féroce qu’il porte sur certains de ses concitoyens, Maurice Gouiran sait comme peu nous faire partager les collines, les cistes et les chênes kermès qu’il adore… Il se nourrit aussi, et avec gourmandise, de ces conversations de comptoirs, de ces gens des quartiers populaires, ces obscurs, ces grandes gueules, ces éternels laissés pour compte qui peuplent souvent ses romans et à qui il donne chair et vie… et ça aussi, c’est un véritable plaisir…
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