EAN13
3540139869774
Dimensions
12,5 x 14 x 2,5 cm
Poids
150 g

Henri salvador crooner jazzy

Interprété par

Socadisc Europ' Distribution

Indisponible
Henri Salvador« Crooner jazzy » Henri Salvador (Cayenne (Guyane), 1917-Paris, 2008)Cent ans après sa naissance, dix ans après sa disparition, et après une carrière au sommet de plus de soixante ans, Henri Salvador demeure l’une des plus grandes figures de la chanson française, toutes époques confondues. La popularité de cet artiste prodigieux reste intacte et la simple évocation de son nom fait immédiatement sourire petits et grands. Son étoile brille au firmament et ne semble pas près de s’éteindre. Un monument.100 éme anniversaireInclus Le lion est mort ce soir Le loup, la biche et le chevalier ( Une chanson douce)Dans mon îleFaut rigolerTroisième enfant de parents d’origine guadeloupéenne, Henri Salvador naît le 18 juillet 1917. Il a 12 ans en 1929 quand la famille s’embarque pour la France et rejoint la capitale. Dans un milieu où la musique est très présente, il apprend à jouer de plusieurs instruments, avant de choisir principalement la guitare, dont il deviendra plus tard un brillant instrumentiste de jazz… ce jazz qu’il découvre en 1933 (Louis Armstrong, Duke Ellington…). Le jeune Henri est littéralement fasciné par cette musique qui ne le quittera plus. Dès 1935, il chante et joue en duo avec son frère aîné André dans les cabarets parisiens, dont le Jimmy’s. Il effectue son service militaire à partir de 1937, puis est mobilisé à la déclaration de guerre. Après l’armistice, les frères se rendent en zone libre en 1941, se produisant à Biarritz et sur la Côte d’Azur. C’est là que le célèbre chef d’orchestre Ray Ventura remarque Henri et l’engage comme chanteur-guitariste dans sa formation avec laquelle il s’embarque pour le Brésil. Henri parcourra les pays du continent sud-américain jusqu’en 1945, révélant, outre ses qualités de musicien, des talents de fantaisiste et d’animateur hors pair. Il enregistrera abondamment avec Ray Ventura, de 1942 à 1945 à Buenos Aires, puis à Paris de 1946 à 1948.De retour, donc, à Paris, Henri Salvador ne reprend pas sa place aux côtés de son frère, ce qui occasionne une rupture difficile dont André ne se remettra jamais vraiment. Désirant avant tout faire une carrière personnelle, Henri monte sa propre formation, obtenant un grand succès lors de son premier passage sur une grande scène parisienne, Bobino. Il a quitté Ray Ventura en bonne entente et le rejoindra sur le tournage de trois films, “Mademoiselle s’amuse” (1948), “Nous irons à Paris” (1949), et “Nous irons à Monte-Carlo” (1952). Il a également commencé à enregistrer des disques sous son nom en 1948 (Clopin clopant et Maladie d’amour) et obtient, l’année suivante, un Grand Prix de l’Académie Charles Cros (Parce que ça me donne du courage). Il passe ensuite à l’A.B.C dans la revue de Mistinguett et, en 1954, se présente en one man show sur la scène de la prestigieuse Salle Pleyel. À partir de cette période, Henri Salvador va mener une carrière habile, en combinant « chansons douces » et tendres qui ont constitué ses
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